paroles_ Denis Girard (décembre 2013)
Je ne crois pas que tu me vois
Comme je suis au fond de moi-même
Je n’ crois pas que tu sens ma voix
Amoureuse comme chant de baleine
Le quotidien au jour le jour
Confond l’amour et les problèmes
Le p’tit train-train sabote les liens
Les grands toujours de nos je t’aime
Les cris d’enfants les lourds tourments
Les nuits trop longues et les migraines
Les affrontements les rêves trop grands
Tuent les désirs gâchent les semaines
Nos cœurs d’enfant luttent pourtant
À chaque jour chaque semaine
Nos sentiments tendres et brûlants
Traversent tempêtes et froid qui saigne
Je ne crois pas que tu me crois
Quand je te chante mes poèmes
Je ne crois pas que tu nous vois
Prier l’amour de nos mains blêmes